précédemment nommée
La France du choix et des multiples possibles.
L'éclairante authenticité devenue coeur de la France, de notre nouveau monde lié à l'ancien,
pour une France libre et inspirante, car inspirée et de nouveau créative !
Pour ne plus jamais voir la politique comme avant...
Paradoxe créatif/expansif
Ce qu'il manque à la France, c'est une bonne dose de communisme ou de véritable chrétienté respectueuse des libertés. Disons à 10 pour cent pour commencer ( ou à pourcentage égal au nombre de gens au RSA ). Pour que les vrais pauvres, le plus souvent jeunes, puissent construire un autre modèle de société plus respectueux, s'entraider, se nourrir, se soutenir au lieu de ne rien faire et de désespérer au milieu de l'inflation, des mensonges et de la vacuité générale sur de nombreux points. Et tout ceci pour ne plus donner le prétexte aux hypocrites, qu'ils soient riches ou pauvres, de ne pas à avoir à agir plus en profondeur. Les pauvres ont davantage de vraie foi que la plupart des vieux socialistes se disant que l'aumône à vide suffit, après avoir vécu la toute puissance et la richesse d'un pays, qui aujourd'hui n'est justement plus, à cause de cet égarement. Par cela nous pourrons non seulement baisser le poids de la dette, mais également à l'avenir, réduire les impôts sur l'entreprenariat novateur et plus complexe de droite. Ici réside le paradoxe créatif/expansif qui n'est que paradoxe malfaisant que pour ceux qui s'y prennent de la mauvaise manière, en de mauvaises droites et gauches, pour mieux s'autodetruire de l'intérieur et imploser dans des mauvais combats et la mauvaise foi. Ce paradoxe créatif/expansif nous renforcera de l'intérieur pour mieux nous exporter à l'extérieur.
D'où le projet de la République des Peuples Libres que les pervers ne veulent pas.
http://rdg.waibe.fr/
La saine et sainte économie pour les nuls.
La bulle de la droite française n'a pas à envahir la bulle de la gauche française pour se sentir vivre. Et inversement, la bulle de la gauche française n'a pas à envahir la bulle de la droite française pour se sentir vivre en retour. Chaque bulle peut vivre d'elle même, gentiment, se renforcer de l'intérieur profond qui est en elle ; ce qui la portera à s'expanser plus fortement, plus sainement en créativités vers l'extérieur de la France, afin de trouver de nouvelles ressources. Il n'y a que la perversité de la bulle du capital-socialisme associés de force par les tiers, qui fait que nous nous autodétruisons mutuellement de l'intérieur, et que la France à tant de mal à s'exporter pour devenir encore plus pauvre, jusqu'à en arriver au point de basculement d'un équilibre outrepassé, faisant la chute de plus en plus rapide et plus lourde de la France. Et de nombreux innocents en souffrent et en paient injustement les pots cassés, parce que le mauvais Etat, le triste parlement, les pires présidents politisés y ont été mêlés et y ont tout entremêlé. Et tant qu'ils continueront ainsi, ils ne seront ni des saints, ni des Hommes plus sains. D'autant plus s'ils insistent à vous faire peur et à vous dire que tout ce que je raconte est impossible et dramatique, pour cette fois ci en toute conscience d'une perversion flagrante poussive, se nourrir de ce chaos qu'ils veulent encore vous imposer, pour se sentir encore plus utiles, et s'enrichir au premier plan le plus injustement. Alors qu'ils ne le sont point et ne savent produire que l'inverse de ce qu'ils disaient rechercher. D'où nôtre projet.
Duels inutiles.
- La libération ne vient pas de la dualité oppressive des duels interminables. Mais de la curiosité et de l'acceptation des différences et des points de vue d'autrui, dans le but de construire une France plus riche. Il est encore temps de mettre fin aux duels, tout comme nous l'avions fait par le passé, avant que tout le monde s'entretue pour le plus funeste des saluts.
Interdépendances mortifères.
Tant que les français ne seront pas prêts à se prendre en charge d'eux même, sans l'état ; tant que nous serons pris les uns aux autres, entres politiques, entre économies, entre générations diverses, et que nous devrons toujours quelque chose à quelqu'un d'autre comme des sortes d'esclaves enchaînés, nous ne pourrons jamais nous permettre de changer, d'évoluer par trop d'auto censure d'emprises et les faiblesses. Nous y serons bloqués et c'est la mort de la France assurée. Et il se passera exactement la même chose si nous sommes politiquement et économiquement déresponsabilisés par les mauvais politiciens et cet état trop protecteurs, qui font que ces parents seront les castrateurs d'enfants devenus fainéants, capricieux, litigieux etc. Pour devenir dans un sursaut bien trop tardif, les pires dictateurs traumatisants. Car ce fût bien la faute des mauvais parents.