précédemment nommée
La France du choix et des multiples possibles.
L'éclairante authenticité devenue coeur de la France, de notre nouveau monde lié à l'ancien,
pour une France libre et inspirante, car inspirée et de nouveau créative !
Pour ne plus jamais voir la politique comme avant...
Le parlementarisme et le consensus centralisateur qui en découle doit avoir lieu une fois l'an. Ou à peine plus fréquemment en de rares occasions et sur d'exceptionnels sujets, mais surtout pour célébrer la paix, la liberté, l'intégrité de tous et de chacun, ou la guerre de défense. Mais en aucun cas les parlementaires doivent faire du parlementarisme un envahissant et journalier métier, établissant constamment leurs seules lois focalisantes d'un seul regard, d'un seule vision de pratiques et de réformes sociales après l'ultime vote du mélange des voix, au détriment de l'indépendance, de la responsabilité, de la créativité et des divers pouvoirs des divers peuples et idéologies. Car alors, ceux là ( les gouvernements du parlementarisme centralisateur ) nous maintiendraient en de plus amples confusions, puis dépendances dégradantes et piégeuses, ceci faisant les peuples habitués à l'éternelle mendicité, colérique ou heureuse, par l'incessant mélange saccageur de toutes les aspirations, menant à la trop haute dominance de l'état, et donc a la pensée unique du consensus sur le moindre des sujets totalitarisé, brisant ici toutes les formes de liberté, de vérité et donc de réels progrès par l'altération progressive des véritables oppositions et des contres pouvoirs les plus vivants, pourtant nécessaires à plus de profondeur et de vivacité politique, économique et sociale à l'avantage de tous.
De leur incessantes emprises déformantes et décisions uniformisantes, n'en ressortirait que le capital-socialisme politisé, entremêlé, ultra étatisé qu'ils ne cessent d'arborer comme étant notre mode de vie le plus sacré, le plus vrai et le plus adapté, alors que cela n'est pas vrai, et contre lequel je n'aurais de cesse de lutter si ce pouvoir d'agir était encore cristallisé entre leurs mains collantes et poisseuses afin de mieux nous engluer. Capital-socialisme entremêlé allant vers l'uniformisé, et donc menant aux plus mauvaises aristocraties, ainsi qu'aux plus terribles églises, toutes deux d'avant révolution et ayant su s'acocquiner pour s'approprier l'ensemble des pouvoirs de décisions, d'action sur l'ensemble des peuples pour leur unique déité, leur unique pensée, par main mise sur l'ensemble des pouvoirs spirituels ( politiques ) et temporels ( économiques ). Ce qui irait inévitablement à l'encontre de ce que recherche une véritable République démocratique : le progrès du monde par l'individu et les divers peuples eux même, étant originellement les plus responsables, les plus différents, les plus réalistes et les mieux investis concernant leurs actuelle situation et leurs futures attentes pour l'harmonie en libertés d'agir. Sauf si les peuples ont pris cette mauvaise habitude que de ne plus avoir à réfléchir et d'être en cet état de soumission et d'apathie constante, dans l'impuissance, ceux là ayant été piégés à l'intérieur de ce système dégradant, aliénant, après avoir été obligé d'y investir en interdépendances forcées, à cause des aristopapes (ici tous de mèches au moins pour le salaire s'il n'y a pas encore complot), aimants au tout pouvoir de décider de votre vie, dans un sens ou le contraire, comme nous ferions la pluie et le beau temps, sans tenir compte des lois de la nature de chacun. Ce qui ne présage rien de bon, excepté peut être la faillite de cet horrible état qui se croyait profond. Ce qui nous soulagera et nous rendra enfin la liberté et le vrai sens des divers buts de chacune de nos vies, toutes devant certainement être plus différentes les unes que les autres pour être créatives. Sinon autant faire de l'art moderne et peindre cette toile en blanc, avant et après d'y poser un étron afin de le vendre à prix d'or aux plus idiots et plus incréatifs d'entre nous. Mais qu'est ce que l'on y discerne ??? Rien... La seule chose que je sais, c'est que si l'on y marche par mégarde dedans, surtout si tout est en blanc immaculé, ça sentira toujours la merde nous collant aux chaussures.
Pour en savoir plus sur la systémique dégradante de ce capital-socialisme de connivence étatisé, je vous invite à lire les onglets : Transpolitique et Socialisme antisocial.
L'Etat de l'Ena
Par force d'attendre de l'état et de la culturelle soumission à la prépondérance des ses scientifiques administrations étatiques, donc forcément automatiques car d'une même école d'ENA se croyant surpuissante et hautement qualifiée, puis s'imaginant le tout bien faire tout en faisant le bien ; nous vivons en réalité comme si la sensibilité, la passion et les particularités des autres et de leur propre expérience n'étaient plus que de simples erreurs d'utopies. Ici en extrême centre du pouvoir de la banalité machinalement calculatrice et consensuelle, là où ceux qui se croyaient citoyens pensaient que tout était déjà parfaitement réglé, équilibré ; survient en réalité la mort lente et progressive de toutes volontés des peuples. Tout comme s'ils n'avaient déjà plus de sentiments et de désirs vibrants. Malheureusement ici disparaît ce qui faisait toute notre humanité, notre réalité, pensant aujourd'hui que tout était déjà écrit et le plus exactement précis. A moins que le choc de ce mauvais et incomplet calcul nous rê-é-veille au devant de cette ancienne forme d'IA. Celle qui n'a pas d'âme, ni d'autres rêves, ni réelle force d'apprendre, même si elle pensait avoir beaucoup appris et tout compris. Mais elle n'a pris que le contrôle de nos désirs, de nos cerveaux, de tous nos sentiments et instincts de survie. Ils sont la mort de l'homme, de toutes formes d'humanismes.
L'extrême centre
Opposer droite et gauche est une manière pour ceux qui y sont, de garder le pouvoir. Les mélanger également, ce au détriment de toute autre évolution, de surcroît positive pour l'ensemble des peuples. Il est celui qui mélange le tout à l'extrême, pour coincer, coloniser tout le monde et faire ce qu'il veut de tous, que cela soit juste ou non. De nombreuses injustices en témoignent chaque jour.