La République des Peuples Libres

précédemment nommée

La République des Gaules

 

La France du choix et des multiples possibles.

L'éclairante authenticité devenue coeur de la France, de notre nouveau monde lié à l'ancien,

pour une France libre et inspirante, car inspirée et de nouveau créative !

Pour ne plus jamais voir la politique comme avant...

 


04 novembre 2025
Bonne fête Charles Bor.
56058 visiteurs

Qu'en pense l'IA ?

Nouvelle page en cours de relecture mais l'essentiel y est ! yes

Mes réponses et précisions personnelles à Gémini sont ici écrites en bleu. Celle de Gémini limitées à ce que l'on connait, mais plus ouvertes que de nombreux politiciens et soit disant citoyens, y sont en noir.

 

Ma question à Gémini :

Que pensez vous de la démocratie par la mise en pratique plurielle des idéologies séparées et volontairement connectées, via le choix, puis la mise en pratique des citoyens de chacune de ces idéologies, de chacune de ces politiques dans un même pays ?

 

🤔 Réflexion sur un modèle démocratique pluriel

​Votre proposition d'une démocratie par la « mise en pratique plurielle des idéologies et politiques séparées et volontairement connectées, via le choix puis la mise en pratique des citoyens de chacune de ces idéologies dans un même pays » est très stimulante. Elle touche au cœur du défi démocratique : celui de gérer le pluralisme et la diversité des convictions au sein d'une unité nationale.

​Voici ce que l'on peut en penser, en la rapprochant des concepts existants de la démocratie pluraliste et des défis qu'elle pose.

 

🧐 Avantages : L'Expérimentation Sociale.

 
​Ce modèle a le mérite d'offrir une solution au sentiment d'impuissance politique en permettant une participation concrète et directe aux choix de société :
 
​- Laboratoire d'Idées Vives : Il permettrait à chaque idéologie (libéralisme, socialisme, écologie politique, etc.) de devenir un laboratoire social, économique et politique réel. On passerait de la théorie et des promesses de campagne à une vérification empirique, (donc s'appuyant sur l'expérience), de la performance de chaque système choisi. (Ce qui évitera les arnaques et les fausses promesses sur tout un pays)
 
​- Souveraineté Individuelle Renforcée : Le choix actif des citoyens de rejoindre et d'appliquer une idéologie spécifique maximise leur souveraineté individuelle et leur engagement. Ils sont directement responsables du succès ou de l'échec de leur "communauté idéologique".
 
​- Réduction de la Stagnation : La compétition et la comparaison directe entre les modèles pourraient stimuler l'innovation politique et sociale, empêchant la majorité d'imposer un statu quo insatisfaisant pour tous.
 
Tu oublies l'innovation économique, ce qui me semble très important. Mais ce n'est pas très grave, continuons.

 

🧐 Autres points forts.

 

     1. ​Reconnaissance Maximale du Pluralisme :

 ​Le modèle actuel de démocratie pluraliste tolère et encadre la diversité des idéologies (partis politiques, groupes d'intérêt), mais votre approche semble suggérer une autonomie de mise en pratique beaucoup plus poussée pour chaque idéologie.

​Cela pourrait garantir une représentation et une expression plus complètes des différents courants de pensée et des valeurs au sein de la société.

 

​2. Participation et Engagement Citoyen Accrus :

​Le fait que les citoyens choisissent activement une idéologie à "mettre en pratique" directement est un puissant moteur de participation civique et d'appropriation des décisions.

​Cela pourrait lutter contre la désaffection politique en offrant des moyens concrets de vivre ses convictions.

 

3. ​Innovation et Expérimentation :

​Mettre en pratique des idéologies "séparées" mais "connectées" pourrait créer des espaces d'expérimentation politique, sociale et économique au sein du même pays.

​Les citoyens pourraient ainsi comparer les résultats concrets des différentes approches (par exemple, des politiques éducatives ou économiques différentes) et les ajuster en conséquence.

 

🚧 Défis et limites potentielles 

 

​L'implémentation d'un tel système soulève des questions fondamentales sur la cohésion nationale et l'État de droit, et met en péril l'idée même d'État-nation. 

Je comprends. Mais je ne penses pas que cela mette en péril tout cela. Au contraire, cela ne fera que renforcer notre amour de la France et notre joie d'appartenir à une telle nation si nous prenons les bonnes décisions, notamment en terme d'éducation et de justice globale. Et nous les prendrons grâce à la profondeur enfin permise par cette nouvelle république des Peuples Libres, œuvrant non seulement en la faveur et à la profondeur de la nation, mais aussi de l'individu. Et pas qu'en la faveur de la nation aimant à oublier ou effacer l'individu au bénéfice d'on ne sait qui. Donc œuvrant aux superficialités de l'individu qui n'en fera que des erreurs. Mais certains manipulateurs dont le désir et de nous maintenir sous emprise, grâce à ce point fixe aujourd'hui survolé, utiliseront encore en effet et sans aucun doute, cette peur de ne plus appartenir à la France, et donc d'en perdre les bénéfices, pour maintenir les plus mauvaises républiques. Bénéfices qu'ils espèreront surtout pour eux seul en palabrant et en envoyant les autres civils vers des combats pour des raisons stupides. En réalité la République des Peuples Libres en fera certainement plus que la 5ème république, en terme d'unité, de cohésion. Unité et cohésion que cette dernière semble d'évidence ne plus offrir, ou seulement sous les aspects d'une tyrannie plus forte. Ce qui n'est pas souhaitable. Pour ce qui est de l'état de droit, n'oublions pas qu'il n'y a pas de droits qui vaillent sans devoirs. Sinon ceux là disparaissent, tout comme la nation malade qui les néglige, d'un manque de multiples choix volontaristes que l'on devrait permettre citoyens. C'est systématique.  

 

1. ​Risque de Fragmentation et d'Inégalité :

 

​Séparation contre Unité : Comment maintenir l'unité nationale et un sentiment d'appartenance commun si les citoyens "pratiquent" des idéologies fondamentalement différentes ? Le risque est la fragmentation sociale ou même le développement de sociétés parallèles. 

Nous maintiendrons la cohésion par le drapeau, la force d'institutions supérieures, le renforcement de l'éducation et du civisme, par l'armée, par la justice, et par la commune adhésion à cet idéal salvateur encouragé de ces populations en soif d'accomplissements, de libertés et de sincérités. Qui donc ne voudrait appartenir pas à une telle nation, si ce ne sont justement ceux qui veulent la détruire par l'absence de tout cela ? Pour ce qui est des sociétés parallèles je ne comprends pas. Le but étant justement qu'il y ait plusieurs formes de sociétés fonctionnant en parallèle. Parles tu de mafia ? Elle existe déjà, mais dans le plus grand secret... Quand à la fragmentation sociale, elle est que trop présente à ce jour. Surtout chez les politiciens qu'il nous faut corriger par cet esprit d'une bonne éducation. Je parles de ceux là, ayant malheureusement hérités des plus mauvais apprentissages d'impolitesse venant de l'ère des colonisations par l'agressivité active ou passive. Il n'y a qu'à voir dans l'hémicycle le triste exemple qu'ils donnent et transmettent aux jeunes via l'ancien, qui actuellement ne font que de reproduire ces plus mauvais exemples dans la rue ou dans l'isolement qui vient des isoloirs de la 5ème république. Et imaginez qu'un extrême droite ou gauche prenne dès demain le tout pouvoir de gouverner par la centralité ? Cela ne créerait il justement pas un risque encore plus accru de fragmentation sociale vers encore plus d'extrêmes si tout ceci durait plus encore ? Bien sûr que si voyons...

 

​Inégalité de Droits et de Services : Si la mise en pratique mène à des politiques concrètes différentes, cela pourrait créer des disparités importantes dans l'accès aux services publics (santé, éducation, sécurité) ou même dans les droits et devoirs des citoyens selon l'idéologie qu'ils ont choisie.

Et bien oui c'est le jeu ma pauvre Lucette. L'accès au service public, à la santé, à la sécurité est certainement plus prononcé dans un système communiste par exemple. Mais après cela dépend duquel et comment vous voulez l'appeler. C'est justement un choix de vie très personnel. 

 

2. ​La Question de la "Connexion Volontaire" :

 

​C'est l'élément le plus complexe de votre idée. Comment s'articulent et se concilient ces idéologies dans un cadre commun ?

Fait parler ton imagination Gémini. Si tu en as. Mais peut être qu'il nous revient d'oeuvrer, afin de te donner cet exemple que tu pourras à l'avenir retransmettre aux humains. Et je pourrais te demander en retour : comment s'articulent et ce concilient les différentes idéologies sur terre ? Parfois elle se concilient bien et continuent leurs échanges. Parfois non. Mais il sera justement du rôle de l'état, de ses polices, de ses justice et armée, de mieux les concilier en articulations vitales pour tout un chacun. Chacun devant savoir qu'il doit s'ouvrir à l'autre en libertés d'échanges, s'il désire lui même survivre, plutôt que de s'auto-détruire en se boudant ou s'entretuant. Ce qui faillit arriver entre les Etats Unis et la Russie d'URSS, qui n'étaient malheureusement pas soumis à une justice et une armée supérieures. Ce qui demain sera fait pour la France par le désarmement des politiques, qu'il soit électoral ou véritablement armé. Chose que je souhaite également pour tout le monde afin d'ymaintenir la paix.

 

​Loi Fondamentale : Il faudrait un socle constitutionnel extrêmement solide et accepté par tous, garantissant les droits humains universels et les principes démocratiques de base, pour éviter que des idéologies extrêmes ne se mettent en place.

Je suis entièrement d'accord. C'est justement ce que nous ferons.

 

​Arbitrage des Conflits : Qui arbitre lorsque les pratiques idéologiques entrent en conflit (par exemple, une idéologie A qui nécessite une ressource exploitée sur le territoire d'une idéologie B) ? Un pouvoir central fort et neutre, de type État fédéral ou confédéral, serait indispensable.

Oui tout à fait. Et ce sera le cas.

 

3.​Complexité Administrative et Politique :

 

​Un tel système nécessiterait une gestion politique et administrative titanesque. La prise de décision au niveau national serait rendue très difficile, car elle devrait constamment intégrer et concilier des pratiques et des valeurs divergentes.

Nous avons déjà une administration politique titanesque cher Gémini. Donc autant qu'elle serve à nous libérer plutôt qu'à nous emprisonner. Mais je ne suis pas certain de ce que tu dis, car personne n'a encore produit ce genre de démocratie. Donc comment peux tu en être si certain ? Pour ce qui est de la prise de décision au niveau national, cela ne sera pas plus difficile qu'aujourd'hui, surtout si on s'en donne les moyens et le socle commun. Aujourd'hui n'oublions pas que tout est bloqué, et qu'au lieu de travailler à leur idéal, nos administrations politiques ne font que passer leur temps à se battre (ce qui n'est pas constructif) pour des résultats qui ne sont jamais sûrs et en éternelles contradictions, (ce qui est encore moins constructif). Je pense même que la gestion sera plus facile puisque justement nous aurons des valeurs communes simples, comme par exemple celle de la défense des libertés. Et que nous laisserons la complexité de trop nombreuses valeurs en communes en contradictions aux peuples contre-productifs. Quand au simplisme d'une dictature de la pensée unique, je n'ose même pas l'imaginer. Qu'est ce qui doit primer ? La joie du peuple qui en comprends plusieurs par la particularité même de chaque être humain, ou celle d'un bourreau qui pense que le monde ne devrait être qu'une machine à son image ?

Et à plus petite échelle, si par exemple un ouvrier en a assez de se faire spolier ou harceler par une succession de patrons systémiquement et idéologiquement dérangés, mieux vaut il pour lui de se perdre en actions et frais de justice administratives pour espérer se faire justement respecter, faute de l'existence d'une autre forme de politique sociétale plus humaine et plus juste à ses yeux, ou de directement pouvoir prendre ses affaires, pour mieux se diriger vers l'idéal de société qu'il souhaite ? Idem pour les propriétaires d'appartements squattés obligés de faire milles démarches administratives et judiciaires pour se faire respecter, faute de l'existence d'une véritable justice économique et sociales et véritablement solidaire existant en parallèle... Alors que justement la simple existence de cette dernière pourrait libérer des compétences judiciaires titanesques en la faveur d'une meilleure gestion de l'état, plutôt que de mettre tout le monde en faute et embarras. Mais je le répète, je ne suis franchement pas certain que le système démocratique que je propose nécessite une gestion politique et administrative titanesque, celui ci mettant en avant la responsabilité et l'action du volontarisme citoyen.

 

💡 Modèles existants et parallèles

 

​Votre concept rappelle, dans une certaine mesure, l'idée du pluralisme libéral et de la démocratie délibérative, mais en l'amenant à un niveau de mise en œuvre très radical.

Je ne dirais pas radical. Mais plus affûté, plus affiné, plus raffiné, plus abouti et encore plus humain... Car le mot radical ferait penser à ce que cela soit une chose négative. Hors il n'y a rien de négatif là dedans, hormis pour les hommes radicaux se faisant passer pour modérés. Pour moi la radicalité est justement le fait qu'un gouvernement politisé puisse incarner le pouvoir exécutif, et s'imposer à toute une population aux diverses aspirations pendant plusieurs années ou décennies. Ce qui de fait amoindrirait la pureté des autres politiques. Autres politiques qui, une fois qu'elles seront élues à leur tour, se radicaliseront tout autant, voire tout naturellement davantage, pour se venger des précédentes radicalités qui voulurent les amoindrir ou les détruire injustement. Ceci comme une sorte de radicalité exponentielle entre les divers courants qu'il faut éviter à tout prix. Et nous l'éviterons par la neutralité supérieure de l'état et l'existence de la République des Peuples Libres.

 

​Démocraties Pluralistes : Elles accueillent déjà la pluralité des partis et des groupes d'intérêt, mais la loi et les politiques publiques restent uniques sur un territoire donné.

Trés bien, libre à elles. Libre à elles de faire et de profiter du communisme d'Etat sans profondeur qui de ce fait s'éffondrera. Mais dans ce cas, pourquoi voter si tout est déjà joué ? La démocratie y est fortement amoindrie par la dillution progressive de tous... Mais il faudra certainement à l'avenir que je te demande d'approfondir ce concept. Car ta réponse est trop floue.

​Systèmes Fédéraux ou Confédéraux : Certains pays (comme la Suisse, la Belgique ou les États-Unis) permettent déjà une grande variation des lois et des politiques selon les régions ou les cantons, reflétant parfois des tendances idéologiques différentes. C'est peut-être le cadre institutionnel le plus proche pour mettre en œuvre votre idée.

Oui c'est déjà mieux. Mais je ne doute que les tendances idéologiques, politiques et sociales y soient si différentes. Il faudrait demander à tous les Suisses s'ils sont réellement satisfaits. Et je ne parles pas ici de la majorité. Pour moi elle n'est qu'une dictaure qu'elle soit de 51% ou même plus.

​Démocratie Délibérative : Ce modèle met l'accent sur la discussion et l'échange d'arguments pour transcender les positions idéologiques initiales et arriver à un consensus, ce qui est l'inverse de la mise en pratique "séparée". Votre modèle semble privilégier la cohabitation plutôt que la fusion ou le consensus.

Oui car le consensus n'est pas vraiment démocratique, celui ci ayant  tendance à tout aplanir. Comme s'il n'y avait plus le plaisir d'une descente ou l'effort vivifiant d'une montagne à gravir. De plus celui ci à tendance à détruire la volonté ou la passion créatrice. Un peu comme un vieux couple qui s'ennuie, ne vibre plus après avoir tout vécu, là ou chacune des originalité s'annulent en un seul fruit que l'on mange à chaque repas, et où à la fin chacun ne demande plus qu'à vivre une séparation en liberté, espérons la cordiale, pour revivre l'amour, la sensation humaine d'un nouvelle vibration. Evidemment je ne juge ici personne et chacun fera ce qu'il voudra pour récolter tout son mérite.

​En conclusion, la valeur de votre proposition réside dans sa capacité à maximiser la liberté d'expérimentation politique et l'engagement citoyen. Cependant, sa réussite dépendrait entièrement de l'efficacité et de la légitimité d'un cadre de "connexion" supérieur capable de garantir l'égalité fondamentale des citoyens et la stabilité du pays malgré la profonde divergence des pratiques idéologiques mises en œuvre.

 

 

Deuxième analyse gémini sur les défis fondamentaux.

 

 
⚠️ Quelques autres exemples de défis pratiques et fondamentaux à la République des Peuples Libres.
 
 
​1. La Question de la Loi Unique et des Droits
 
 
​Légalité et Constitution : Comment un État peut-il garantir les droits fondamentaux (égalité devant la loi, sécurité, libre circulation) si différentes idéologies appliquent des lois économiques, sociales ou même pénales différentes ? Par exemple, une idéologie peut prôner un impôt très élevé pour financer des services publics, tandis qu'une autre opte pour l'absence d'impôts et des services privatisés.
 
J'en pense que les choses se feront d'elles même, petit à petit avec le temps, puisqu'ici les portes sont ouvertes dans le choix des possibles. Et que le choix d'un plus d'impôt au détriment d'autre chose, d'une autre forme de créativité plus ou moins privée, sera un choix à l'avenir plus personnel. Pour ce qui est du droit de libre circulation, tout le monde pourra circuler où il veut sur toutes voies publiques. Mais pas sur les propriétés privées comme aujourd'hui. Concernant la justice, il y aura une sécurité et justice fédérales à l'exemple du FBI et de la cour suprême etc, et une justice et sécurité locale plus harmonique à sa propre politique. Et je pense que certaines politiques idéologiques seront plus efficaces que d'autres. Et donc qu'elles auront moins à investir en ce sens pour leur plus grand bénéfice.
 
 
​Le "Changement d'Idéologie" : Un citoyen pourrait-il changer d'idéologie à volonté pour échapper à ses obligations (fiscales, militaires, etc.) ou pour bénéficier des avantages d'un autre groupe ? Cela nécessiterait des frontières internes juridiques et administratives très strictes, contraires au principe de citoyenneté unique.
 
Pour moi le principe de citoyenneté unique ne s'appliquera que sur certains principes, comme justement certaines obligations militaires ou fiscales en lien avec la protection et certaines éducations de la nation. Mais pas plus. Ce qui n'a rien de choquant. Ce qui serait choquant c'est justement que nous soyons tous pareils, habillés des mêmes habits et tenant les mêmes dicours et ayant un même caractère sur chaque aspect de notre vie, ceci allant en direction des pires dictatures. Et si par exemple une personne désire changer d'idéologie afin de profiter des avantages d'un autre groupe, je pense qu'il revient à ce groupe de l'accueillir tout en sachant se protéger. Notamment ses propres caisses de cotisations. Donc en étant juste avec autrui pour être juste avec lui même. C'est pas plus compliqué.
 
 
​2. Le Défi Économique et Social
 
​Monnaie et Échanges : Si les systèmes économiques sont séparés, comment gère-t-on la monnaie, la dette et la régulation des marchés ? Des zones économiques radicalement différentes dans un même pays sont sources de chaos et de spéculation.
 
Nous pouvons très bien conserver la même monnaie, tant que chaque institution idéologique garde un bon et sain contrôle de sa propre dette. Ce qui n'est pas aujourd'hui le cas de la dette de la France vis à vis de l'Europe, qui risque de lui tirer les bretelles pour rétablir la confiance dans l'union, si ça monnaie unique désire survivre en ne perdant pas trop de valeur. Les uns ne veulent jamais payer pour les abus et les insouciances des autres, c'est connu. Mais vous savez, avant l'Europe, donc avant l'euro, l'existence de monnaies différentes au sein de chacun des pays n'étaient pas un problème ni source de chaos et de spéculation que certains semblent imaginer négatives comme les communistes par exemple. Donc pourquoi chaque idéologie politique ne pourrait elle pas avoir sa propre monnaie ? Bien entendu il n'y a pas 1000 idéologies en France ou sur terre. Au début, quelques unes suffiront pour contenter le plus grand nombre, et la monnaie unique sera conservée. Mais cela pourra évoluer si cela était jugé nécéssaire et la technologie pourra grandement nous y aider.
 
 
 
​Biens Publics et Externalités : Qui finance et gère les biens publics non divisibles (défense nationale, infrastructures majeures, lutte contre la pollution) ? Tout le monde à égalité. Les groupes idéologiques plus riches bénéficieraient-ils des infrastructures construites par les plus pauvres ? N'est ce déjà pas le cas ? Mais oui si ils pourront en bénéficier en payant par exemple un droit de passage via des portiques de télépéages etc, si ces structures voulues et construites par les pauvres sont ainsi faites pour les sortir de la misère commune.
 
 
​3. La Connexion vs. la Fragmentation
 
​Votre modèle repose sur la notion de "connexion volontaire". Cela impliquerait nécessairement un État fédéral ou confédéral très puissant et neutre pour gérer les domaines régaliens (défense, diplomatie, justice suprême) et garantir le respect des contrats entre les "communautés idéologiques".
 
Exactement !
 
​Si cette "connexion" est trop faible, le pays se dirige vers la sécession ou la guerre civile. Si elle est trop forte, elle annule l'autonomie des idéologies, qui se retrouveraient limitées à des différences de détails plutôt que de fond.
 
C'est vrai. Tout aussi vrai que le système de la 5ème république peut produire tout cela...
 
 
⚖️ Conclusion
 
​Ce concept représente un idéal de liberté radicale (élaborée) d'association et d'expérimentation, mais il entre en contradiction frontale avec les principes de l'État-nation moderne (notion plutôt dépassée mais bien actuelle en effet) : l'unité du territoire, (non pas vraiment car la France restera la France) l'égalité (laquelle ?) des citoyens et l'unicité de la loi (qui si elle est trop unique empêche l'évolution nécessaire à chaque milieu particulier).
 
​Il nécessiterait une refonte complète de la notion d'État, vers un modèle de Confédération Ideologica-Territoriale, (pas forcément que territoriale si vous faites preuve de logique imaginative et expérimentatrice) où les communautés choisissent leur système de gouvernance et cohabitent sous un parapluie institutionnel minimal et consensuel. La difficulté, et l'échec potentiel, se situent précisément dans la capacité à créer ce parapluie sans écraser l'autonomie des idéologies.
 
Voilà !