Je dirais que le monde est un immense champ de possibles. Et qu'il faut savoir s'aventurer pour l'apprécier plutôt que de le déprécier pour notre dépression.

Par force de ce dire que la machine d'état va nous sécuriser et doit le faire, nous récoltons la pire des monotonies. La pire des humanités robotisée, automatisée, désensibilisée et déshumanisée. Et même les pires des mensonges en laissant tout notre pouvoir à autrui, qui de ce fait ne sera qu'impuissance, puis par force de dégoût : qu'opportunismes malsains, qu'emprises maléfiques dans le sens d'une malédiction que nous aurons nous même attirée sur nos vies, aujourd'hui synonymes de déliquescence, d'oppressions subtiles et de mort.

Ce qui les arrange c'est qu'il n'y ai qu'un état, qu'une seule école administrative ou politique d'état, sans concurrence de fonctionnement. D'où cette lourdeur et colonisation malsaines rébarbatives venant de la médiocrité et l'inaction s'auto reproduisant, s'engluant car dépassée, dont on ne peut actuellement sortir. Voilà pourquoi il nous en faut plusieurs, d'Etats, d'écoles administratives et politiques, en le projet de : La République des Peuples Libres.

Êtes vous de droite, de gauche ou du centre hermétique ?

J'ai bien compris qu'aigris, avides et impuissants voulaient davantage d'état pour espérer palier à leurs manques. Mais en réalité seul l'action là plus constructive restera citoyenne pour éviter la colonisations d'une république qui est née d'elle. Et nous devrions apprendre à dire tant pis à ceux qui ne voudront rien entreprendre de différent.